Cette enquête, ouverte le 2 juillet, vise un éventuel "abus de confiance" au préjudice de l'UMP, qui avait réglé la facture à la place du candidat. Le Conseil constitutionnel avait estimé en juillet 2013 que l'ex-président devait restituer au Trésor public l'avance forfaitaire de 150.000 euros qui lui avait été versée pour sa campagne, et lui payer 363.615 euros correspondant au dépassement du plafond légal des dépenses.
Le parti avait réglé lui-même cette pénalité, mais certains à l'UMP pensent que ce versement n'est pas tenable juridiquement, relatait Caroline Roux ce lundi sur Europe 1, alors que les comptes du parti pour 2013 sont en attente de validation.
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