Cette information a été ouverte à la demande de deux organisations non gouvernementales (ONG), Sherpa et Transparence International France. Le président de Sherpa, Me William Bourdon, s’est déclaré « satisfait » par la décision du parquet. « Nous attendons la saisine de ces biens pour garantir leur restitution aux peuples tunisien et égyptien », a déclaré l’avocat.
Évoquant, en début d’année, le cas de la Tunisie, Nicolas Sarkozy avait assuré que la France s’attacherait « à la recherche systématique des richesses pillées qui doivent être rendues au peuple tunisien ». Les biens de l’ex-président tunisien et de l’ancien raïs égyptien ne sont pas les seuls dans le viseur de la justice française : une troisième enquête vient d’être ordonnée à l’encontre du leader libyen Mouammar Kadhafi.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire