Chez des amis à Dausse
Face aux propos incohérents, les enquêteurs se posent alors deux questions : « L'épouse de G. B. était-elle dans la maison en flammes ? Ou avait-elle pris la clé des champs ?» De quoi lancer les gendarmes dans de vastes investigations avec la mise en place de moyens nécessaires comme la présence d'un hélicoptère tentant depuis le ciel de repérer, éventuellement, la voiture de la compagne disparue. En poursuivant leur enquête, les gendarmes retrouvent la trace de l'épouse à Dausse. Elle était partie la veille avec la voiture et les chiens. Elle a passé la nuit chez des amis. L'enquête cherchera à comprendre pourquoi l'épouse qui a le même âge que son mari a quitté le domicile conjugal la veille au soir. Rassurés sur l'état de santé de l'épouse, les gendarmes tentèrent de comprendre pourquoi M. N. avait un tel comportement. Il semblait présenter des symptômes dûs soit à une prise importante d'alcool ou de médicaments. Devant ce comportement, les forces de l'ordre obtenaient le placement d'office en centre hospitalier spécialisé à La Candélie. L'enquête ayant résolu le problème de la disparition inquiétante de l'épouse se focalise maintenant sur l'incendie criminel et cherche, en particulier, à savoir si l'époux M. N. est l'auteur du sinistre. Sur place à « Barrou », les gendarmes techniciens d'investigations criminelles procédèrent toute la journée d'hier à l'examen approfondi de la scène de crime. De la maison familiale, il ne reste plus rienhttp://www.ladepeche.fr/article/2012/05/26/1362492-l-incendiaire-presume-s-accuse-d-un-crime.html
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