jeudi 29 septembre 2016

Une femme retrouvée morte ce matin dans son appartement rémois : la piste criminelle privilégiée

Une septuagénaire a été retrouvée morte ce matin dans son appartement de l'avenue d'Epernay à Reims. Les enquêteurs privilégient la piste criminelle
C'est au premier étage d'un immeuble de l'avenue d'Epernay à Reims qu'une femme âgée d'environ 70 ans a été retrouvée décédée ce matin vers 10h30. L'enquête a été confiée au Service régional de police judiciaire (SRPJ) de Reims.

Selon nos informations, les premiers éléments conduisent les enquêteurs à se tourner vers la piste criminelle. 
http://france3-regions.francetvinfo.fr/champagne-ardenne/marne/reims/une-femme-retrouvee-morte-ce-matin-dans-son-appartement-remois-la-piste-criminelle-privilegiee-1096735.html

Les enquêtes impossibles choc 15/08/2016 NEW

mercredi 21 septembre 2016

Bretagne: le corps d'une femme retrouvé

Le corps sans vie d'une femme, âgée d'une soixantaine d'années, a été retrouvé ce matin, vers 8h, sur une plage du Cap-Fréhel.
C'est un homme qui promenait son chien qui l'a découvert et a donné l'alerte, selon
Ouest-France. Les gendarmes de l'identification criminelle ont été envoyés sur place pour faire des prélèvements scientifiques. D'après les premières constatations, le corps a été rejeté par la mer. Il n'a pas encore été identifié. « Cela peut aller très vite, si une disparition nous est signalée, indique la gendarmerie. Ou au contraire, l'identification peut être très longue, si ce n'est pas quelqu'un d'ici ».

Aucune thèse n'est pour l'instant privilégiée.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Les Enquete impossible La Dangereux Prison Du Monde 19/08/2016

lundi 19 septembre 2016

Un an après la découverte d'ossements, la police lance un appel à témoins

Un an de recherches après la découverte d'ossements humains à Ollioules, la police nationale n’a pas pu établir une identification de la personne.            
Ce sont des ossements qu’un promeneur avait découverts, par hasard, dans la colline à Ollioules, le 13 octobre 2015.
Un crâne et une partie de mâchoire étaient à peine visibles, entre broussailles etrocailles, en contrebas d’un chemin forestier. L’origine humaine était aussitôt établie.
Une femme de 45-65 ans
Après un an de recherches, la police nationale n’a pas pu établir une identification de la personne. Ni de datation de ces ossements, attribués à une femme d’environ 45-65 ans, de type européen.
Aucun tissu ou vêtement trouvé sur place n’a pu être formellement rattaché à ces ossements. De même aucun dossier de personne disparue n’a pu être connecté à cette découverte.
Un appel à témoins est lancé, dans l’hypothèse de nouvelles informations susceptibles de faire progresser l’enquête.
Les ossements humains ont été trouvés à cinq minutes de marche après le bout du chemin Sainte-Barbe, à Ollioules, en contrebas d’un chemin forestier.
Le service d’enquête est joignable au 04.98.03.54.13 ou 04.98.03.54.26.
http://www.nicematin.com/sujet/faits-divers

ENQUÊTES CRIMINELLES ÉMISSION DU 24 MARS 2016

dimanche 18 septembre 2016

Ardennes : un suspect interpellé dans l'affaire de la rixe de Warnécourt

ACTUALISATION À 12H : un suspect a été interpellé et placé en garde à vue.
Un jeune de 20 ans grièvement blessé samedi soir lors d’une bagarre est actuellement entre la vie et la mort à l’hôpital Manchester à Charleville-Mézières. Il a reçu plusieurs coups de couteau lors d’une soirée d’anniversaire à la salle des fêtes de Warnécourt.
Les circonstances de la bagarre sont encore floues à ce stade de l’enquête, nous a dit le procureur de la République des Ardennes, Laurent de Caigny. Les auditions sont actuellement en cours. L’auteur des faits n’a pas encore été interpellé.
La brigade de gendarmerie de Sedan a été chargée de l’enquête.
http://www.lunion.fr/node/804568

La petite Karine, 8 Ans, Disparaît Mystérieusement à la Sortie De L'école

samedi 17 septembre 2016

Moliets-et-Maâ (40) : une noyée et des questions

Une femme de 53 ans s’est noyée hier, au large, dans des circonstances encore obscures.
Le parquet a demandé des investigations supplémentaires aux enquêteurs, tant les circonstances du drame qui a coûté la vie, hier matin, à une femme de 53 ans originaire de la région parisienne, restent mystérieuses. On sait que la victime a été déposée par son mari aux alentours de 10 h 30 sur la plage principale de Moliets, où elle avait l'habitude de se baigner. Qu'a-t-elle fait alors ? Personne ne peut l'affirmer avec certitude. Toujours est-il qu'à midi passé d'une poignée de minutes, un kitesurfeur a aperçu une masse sombre dans l'eau, à environ 150 mètres de la zone surveillée
Temps d'alerte
Selon les premiers éléments recueillis, l'alerte n'a été donnée qu'après 12 h 30, heure d'ouverture du poste de secours des MNS de la plage principale. Ceux-ci sont aussitôt intervenus et ont tenté de pratiquer les gestes de secours sur la victime, aidés ensuite des pompiers de Moliets et Lit-et-Mixe. L'hélicoptère du Smur a également été appelé, mais les secours n'ont pu que constater le décès de la quinquagénaire. Un peu plus tard, un véhicule de l'identification criminelle est arrivé sur place et le corps de la victime a été transféré à Dax, où il devrait être autopsié.
A-t-elle été emportée par un courant de baïne ? Que s'est-il passé entre le moment où le corps a été aperçu et celui où l'alerte a été donnée ? Voilà au moins deux des questions auxquelles les enquêteurs devront répondre.
http://www.sudouest.fr/2016/09/17/une-noyee-et-des-questions-2503463-3421.php

ENQUÊTES CRIMINELLES : Jeudi 1 Septembre 2016

jeudi 15 septembre 2016

Meurtre de Guéret : le complice de l'assassin présumé interpellé

Dans la nuit du 14 au 15 juillet 2016, un jeune homme de 24 ans avait été tué d'une balle dans la tête, place Bonnyaud. Six jours plus tard, un homme a été mis en examen pour assassinat. Son complice présumé a été interpellé mardi 13 septembre à Orléans. 
Le complice présumé, un Guérétois de 20 ans, serait le conducteur de la voiture avec laquelle a été menée l'expédition punitive, fatale à Kévin Genty. Il a été interpellé à Orléans et placé en garde à vue dans les locaux du SRPJ de Limoges. Il semble qu'il se trouvait à Orléans depuis moins d'une semaine, après avoir séjourné en Espagne.
L'assassin présumé a été mis en examen le 21 juillet 2016, après avoir avoué le meurtre à coup de fusil de chasse. La victime aurait été traquée dans les rues de la ville durant deux heures. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/limousin/creuse/gueret

Faites entrer l'accusé Les Démons De La Babysitter mp4

mercredi 7 septembre 2016

Affaire Benhellal: 11 ans après les faits, le mari de la Châlonnaise disparue reconnaît qu'elle a été tuée

C’est une histoire truffée de points d’interrogation. Beaucoup trop de points d’interrogation. Depuis la disparition de la Châlonnaise Karima Dandouni, partie en vacances au Maroc en juillet 2005 avec son mari, ces questions hantent la famille de cette femme de 38 ans, aide-documentaliste dans un lycée d’Angoulême. Elles tracassent leur avocat, Me Gérard Chemla. Et empêchent de dormir un journaliste de la Charente Libre, Ismaël Karroum. C’est à lui qu’on doit le coup de théâtre qui intervient 11 ans après les faits.
Ce mercredi, il publie le résultat d’une longue enquête , démarrée à la suite du procès aux assises du mari de Karima Benhellal. En décembre 2013, il a été condamné à 25 ans de réclusion criminelle pour un meurtre qu’il a toujours nié. Une peine confirmée en appel. Pourtant la justice ne détient ni ses aveux ni le corps de sa victime.
Estimant ne pas trouver les réponses à ses questions au fil des audiences du tribunal, Ismaël Karroum s’est plongé dans le dossier d’instruction. Et est entré en contact avec Karbal Dandouni, actuellement détenu à Gradignan près de Bordeaux.

Un corps calciné

Les échanges entre le prisonnier et le chef du service région et internet de la Charente Libre se font en pointillé. Et ne s’avèrent pas forcément concluants. Karbal Dandouni affirme toujours être innoncent mais n’apporte pas d’élément nouveau.
Jusqu’au mois d’août dernier. « Il m’a dit qu’il voulait parler », raconte Ismaël Karroum. Et ses premières paroles lui causent un choc. « Il m’a dit que le corps de Karima avait été découvert par les gendarmes marocains le lendemain du meurtre ! »
Et Karbal Dandouni en a la preuve. Il affirme qu’un article est paru, dans un journal local, pour parler de cette macabre découverte. Cet entrefilet, Ismaël Karroum a fini par le retrouver. ¨Publié le 18 juillet 2005, il évoque des faits en date du 16 et affirme que le corps de femme calciné, découvert au bord d’une route, n’est pas identifiable.
Les éléments présents dans cet article coïncident avec la version des faits fournie par le mari de Karima Benhellal. Dès lors qu’il reconnaît la mort de sa femme, le voilà qui entre dans les détails.

Il y avait un plan ultra-violent

« Sa version, c’est qu’il avait l’intention de conduire Karima dans un appartement vide pour la frapper. Après cette rouste, elle aurait accepté un divorce qu’elle refusait, précise le journaliste de la Charente Libre.
Toujours selon les dires de Karbal Dandouni, dans la voiture qu’il conduisait en direction de Had Soualem, au sud de Casablanca, elle était assise à l’avant, sur la place passager. A l’arrière se trouvait le frère de Rabia, la seconde épouse de son mari. Ce serait cet homme qui lui aurait planté un couteau dans la gorge. « Ce n’était pas prévu, ce n’était pas le plan », a confié Dandouni.

Pourquoi parler 11 ans après les faits ?

A nouveau, un flot de questions découle de ces aveux. Pourquoi le beau-frère de Karima aurait-il voulu la tuer ? Quel rôle a joué Karbal Dandouni dans la mort puis l’incinération du cadavre ? Que sait la seconde épouse de Dandouni ? Cette dernière a utilisé les papiers d’identité de Karima Benhellal pour entrer en France.
Pourquoi Karbal Dandouni décide-t-il de parler ? « Il m’a dit qu’il fallait qu’il se libère, relate Ismaël Karroum, qui ajoute que le père du prisonnier, victime d’un malaise très grave cet été, lui aurait demandé de parler. Autre raison envisagée : les relations entre Dandouni et sa seconde épouse Rabia ne sont pas au beau fixe. De là à envisager qu’il puisse vouloir la mettre en cause pour se venger d’elle…
Quelle que soit sa motivation profonde, cela permettra peut-être d’obtenir les réponses qui font défaut depuis plus de dix ans. C’est tout ce que souhaite l’avocat de la famille Benhellal, Gérard Chemla. « Je voudrais que la justice nous permette de récupérer les restes de Karima afin qu’une sépulture puisse lui être donnée », indique l’avocat châlonnais. « Et je souhaite qu’elle vérifie le degré d’implication de la femme et du beau-frère de Karbal Dandouni ».
En droit, Karbal Dandouni est définitivement condamné. Seul un recours en révision pourrait être envisagé mais il faudrait, pour cela, qu’il existe une preuve de son innocence. Me Chemla a demandé au procureur de la République d’Angoulême d’ouvrir une nouvelle enquête. Karbal Dandouni pourrait être bientôt entendu par le Parquet charentais.
http://www.lunion.fr/node/797661

mardi 6 septembre 2016

Après l'attentat de Nice, la patronne de la police des polices auditionnée mardi

Marie-France Moneger-Guyomarc'h, responsable de l'Inspection générale de la police des polices (IGPN), sera devant la commission des Lois pour répondre aux questions des députés, mardi à 15 heures à l'Assemblée nationale.
En pleine polémique post-attentat sur le dispositif de sécurité mis en place à Nice lors de ce tragique 14 juillet, le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, avait chargé l'IGPN d'enquêter.
L'inspection générale de la police nationale avait rendu sa copie en quelques jours à peine. Pour la police des polices le dispositif n'était "pas sous-dimensionné". C'est la patronne de l'IGPN en personne qui l'avait affirmé publiquement le 27 juillet.
>> RELIRE. Ce que dit le rapport de l'IGPN sur le dispositif de sécurité à Nice le soir du 14-Juillet
Fin de l'histoire?
Pas tout à fait. La responsable de l'inspection générale de la police des polices, Marie-France Moneger-Guyomarc'h, va devoir répondre aux questions des députés. Elle doit être auditionnée mardi après-midi par la commission des Lois.
Le député Eric Ciotti en est membre. "Fin juillet, à la fin de la cession parlementaire et avant que l'IGPN ne soit saisie, nous avions demandé avec Guillaume Larrivé [député Les Républicains de l'Yonne] l'ouverture d'une commission d'enquête ou d'une mission d'information parlementaire, explique le député azuréen. Afin que l'Assemblée Nationale puisse avoir un regard sur ce qui s'est passé à Nice. Cette audition intervient dans ce cadre. Nous verrons s'il y en aura d'autres..."
Au regard de la "gravité de l'événement", Eric Ciotti aurait en effet préféré une mission d'enquête "plus globale". Comme cela avait d'ailleurs été le cas après les attentats du 13 novembre à Paris
http://www.nicematin.com/sujet/faits-divers

lundi 5 septembre 2016

Tué à la kalach aux Izards : «Qui a assassiné mon fils ?»

Nabil Benani avait 18 ans. Sa vie a été fauchée le dimanche 8 décembre 2013, aux pieds de son immeuble du quartier des Izards. Visé par une rafale de kalachnikov, il est mort deux jours plus tard à l'hôpital. Il est la toute première victime d'une série de règlements de comptes qui a ensanglanté ce quartier entre 2013 et 2014. Naïma, la maman du jeune garçon, crie son désespoir, face à ce crime aujourd'hui impuni.
Que s'est-il passé ce soir du 8 décembre 2013 ?
J'ai été réveillée vers 23 heures ou 23 h 15. On m'a dit «Nabil a eu un problème avec la police. Vite !» Je suis descendue. Une dame m'a dit de ne pas entrer puis je l'ai vu dans une ambulance. Il était déjà dans le coma. Il est mort le 11 décembre à Purpan. J'étais là.
Que vous a-t-on dit sur le déroulement des faits ?
Ce soir-là, il m'a fait un bisou. Il est sorti de chez lui. Il était dans sa voiture avec un copain quand il a croisé un groupe qu'il connaissait. Certains lui ont fait signe de s'arrêter pour discuter. Il est allé dans le hall de l'immeuble. Même pas trente seconde après, il s'est fait tirer dessus. Il était au mauvais endroit au moment.
Qui était Nabil ?
Pour moi qui vivais avec lui, il était l'homme de la maison. C'était à la fois mon fils, mon frère et mon père. Il était très mature. Né dans le quartier, il jouait au football dans le club des Izards. Il venait de passer son permis et de s'acheter une voiture. Il se destinait à être soudeur. C'était un jeune très gentil qui n'avait jamais eu de problème avec la police. Il était intelligent, joyeux et très apprécié.
Comment vivez-vous depuis son décès ?
J'ai déménagé dans un autre quartier. Je vais sur sa tombe deux fois par semaine. Je lui parle. Je lui dis «Nabil réveille toi ! Dis-moi qui t'a fait ça !»
Qu'attendez-vous aujourd'hui ?
Ça fait presque trois ans et l'enquête est toujours au point mort. Je sais que les policiers travaillent dur mais ils ne trouvent pas. Je ne suis pas trop au courant.
Qu'est-ce qui vous pousse à parler ?
Je n'ai pas fait mon deuil. Je ne pourrai le faire que le jour où on aura trouvé le meurtrier et qu'il sera condamné. Je suis seule. Il ne me reste que son image et le silence.

2 mis en examen

Deux personnes ont été mises en examen notamment pour «meurtre en bande organisée» dans l'affaire concernant le meurtre de Nabil Benani. Ils avaient été interpellés au printemps 2015 par les hommes du SRPJ. Aujourd'hui, ils sont libres mais sont astreints à un contrôle judiciaire. Les enquêteurs, loin d'avoir oublié ce dossier, continuent leurs investigations.

http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html

dimanche 4 septembre 2016

Disparu depuis plusieurs semaines : qu'est-il arrivé à Quentin, retrouvé blessé en Suisse ?

Il avait disparu depuis le début du mois d'août et sa famille mourrait d'angoisse. Quentin, un jeune Columérin de 20 ans, vient d'être retrouvé vivant mais très affaibli, en Suisse, bien loin de l'endroit où sa trace se perdait
C'est son père lui-même, très inquiet, qui a pris la route il y a plus d'une semaine pour tenter de retrouver le jeune homme. Selon les dernières informations recueillies par sa famille, Quentin avait été contrôlé par des forces de l'ordre du côté de la Haute-Savoie.
«Il n'avait pas ses papiers mais ils l'ont laissé repartir quand même, déplore sa maman. Son papa est donc allé faire toutes les routes là-bas, jusqu'en Suisse.» C'est là qu'il est finalement parvenu à retrouver la trace de son fils. «Il était dans une sorte de squat, comme dans les vapes. Il est blessé».

«Il ne parle pas»

Père et fils ont donc repris la route en direction de Toulouse où Quentin a été hospitalisé. «Il ne parle pas mais serre très fort nos mains, décrit la maman, rassurée mais perplexe sur ce qui a pu arriver à son fils. Il a des points sur le cou et un bleu».

En vacances avec des amis

Qu'à fait Quentin depuis le 4 août, date à laquelle il a disparu des écrans ? Hier, sa famille l'ignorait. Le jeune homme était parti en vacances du côté d'Argelès-sur-Mer, dans les Pyrénées-Orientales avec un couple d'amis. Ces derniers sont rentrés en région toulousaine mais Quentin, qui avait rencontré des personnes en discothèque, leur a expliqué qu'il souhaitait rester «encore un peu et serait hébergé sur Perpignan».
Après le 4 août, il n'a plus donné signe de vie. «Sa voiture a été fracturée et on l'a retrouvée à la fourrière, expliquait sa maman dans nos colonnes cette semaine. Il n'avait plus de papiers ni de carte bancaire.» Elle craignait : «Il a dû faire une mauvaise rencontre. C'est quelqu'un de très ouvert et qui parle à tout le monde.»
Soulagée d'avoir retrouvé son fils, Patricia tient à «remercier tous ceux qui nous ont aidés et son papa qui a fait toute cette route.» Un appel à témoins avait été lancé sur les réseaux sociaux et avait été largement partagé.