mardi 29 mars 2016

Couple retrouvé mort lundi en Charente-Maritime : que s'est-il passé

Le drame s'est déroulé à Port-d'Envaux, non loin de Saintes. Les circonstances restent floues
Ce lundi à Port-d'Envaux, à 10 km de Saintes, les corps d'un couple de septuagénaires, René et Maryvonne Gaillard, ont été retrouvés sans vie dans leur maison.
L'homme âgé de 73 ans aurait-il tué sa femme avec une arme à feu, avant de retourner l'arme contre lui ? Rien ne permettait lundi soir de confirmer cette hypothèse, même si la piste était évoquée.
Ce dernier était un ancien gendarme.

Toute la journée, la gendarmerie était sur place.
Joint par "Sud Ouest", le maire de Port-d'Envaux, Sylvain Barreaud, indique qu'il connaissait le couple. "Ils menaient une vie tranquille, précise l'édile. Je n'ai pas d'informations particulières sur une situation désespérée qui aurait poussé à un geste fatal. Je l'avais d'ailleurs vu à une réunion publique il y a quinze jours."
Sylvain Barreaud les décrit comme des gens bien intégrés à la vie de la commune. "Ils habitaient auparavant une maison dans le centre-bourg, puis ils ont fait construire leur maison il y a une vingtaine d'années."
http://www.sudouest.fr/2016/03/28/charente-maritime-un-couple-de-retraites-retrouves-morts-a-leur-domicile-2315028-1531.php

dimanche 27 mars 2016

Exécution d'Aurore Picart à Reims: un suspect interpellé

Rebondissement dans le meurtre d’Aurore Picart, cette Rémoise de 46 ans abattue le 22 février dernier dans la cour d’un immeuble de Reims. Saisis de l’enquête, les policiers du SRPJ ont arrêté, ce dimanche matin à 6 heures, un homme qui pourrait être l’auteur des faits.
Apparemment, les policiers ont eu connaissance, ce samedi après-midi, d’un renseignement primordial, recueilli lors d’une enquête sur un trafic de stupéfiants, qui leur a permis d’identifier le suspect et de l’interpeller.
http://www.lunion.fr/node/691427

Enquêtes Impossibles, Noyée dans sa baignoire

vendredi 25 mars 2016

Saône-et-Loire : qu’a révélé l’autopsie des corps de Sophie Zizzutto et de ses enfants ?

Les corps de Sophie Zizzutto et de ses deux enfants Liam, 3 ans, et Yumi, 7 ans, ont été retrouvés dans une auto au fond du canal du Centre en Saône-et-Loire. Une autopsie a eu lieu pour déterminer les causes de leur mort.

Quelle est l’hypothèse privilégiée ?

La mère de famille avait disparu avec ses deux enfants depuis le 28 janvier 2016. Leurs corps ont été repérés dans le canal du Centre entre Ciry-le-Noble et Génelard mardi 22 mars 2016. Une autopsie a été réalisée mercredi.

Pour le moment, l'hypothèse de la noyade est "privilégiée", a indiqué Karine Malara, procureur de la République de Mâcon, vendredi 25 mars 2016. Mais, cela doit être encore confirmé par des analyses, a-t-elle précisé. Des examens complémentaires vont être réalisés (recherche de diatomées). Par ailleurs, des analyses de toxicologie sont attendues.

Quelles sont les autres pistes ?

Plusieurs pistes sont explorées par les enquêteurs pour déterminer les causes de la noyade : il pourrait s’agir d’un accident ou d’un suicide. Il y a aussi "l'hypothèse d'un tiers" même si, dans l'immédiat, "aucun élément" ne conduit les enquêteurs sur cette piste, les corps ne portant "pas de traces de violence".

L’autopsie a révélé que les corps avaient pu séjourner "au moins trente jours" dans l'eau, soit "un délai compatible avec le jour de leur disparition", qui remontait au 28 janvier en fin d'après-midi. Ce jour-là, Sophie Zizzutto, 39 ans, qui résidait à Saint-Romain-sous-Gourdon, en Saône-et-Loire, à environ dix kilomètres du lieu de la découverte des corps, avait été vue pour la dernière fois quand elle était allée chercher ses deux enfants à l'école

Que cherchent désormais les enquêteurs ?

La mère de famille, décrite comme "fragile psychologiquement", avait quitté son domicile sans son téléphone portable et aucun mouvement bancaire n'avait été observé sur ses comptes depuis le 28 janvier.
La disparition de Sophie Zizzutto et de ses enfants avait été signalée le 31 janvier par son ex-mari, inquiet de ne pas parvenir à la joindre.

Les enquêteurs de la gendarmerie cherchent désormais à "comprendre pourquoi elle est partie en laissant tout chez elle et sans prévenir personne", a précisé la procureure de la République de Mâcon. Le parquet de Mâcon a ouvert une enquête préliminaire pour déterminer les causes de la mort.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/saone-et-loire/macon/saone-et-loire-qu-revele-l-autopsie-des-corps-de-sophie-zizzutto-et-de-ses-enfants-960289.html

Argenteuil: Un projet d'attentat déjoué, le suspect avait été condamné avec Abaaoud en juillet 2015

Dernière info : Le suspect avait été condamné avec Abaaoud à Bruxelles en juillet 2015
La police menait jeudi soir des perquisitions à Argenteuil (Val-d'Oise), où des explosifs ont été découverts, après l'interpellation d'un homme suspecté d'être impliqué dans un projet d'attentat en France, conduit à un «stade avancé», mais qui semble sans lien avec les attaques qui ont frappé Bruxelles mardi ou Paris en novembre.
Les policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) ont mené cette «interpellation importante» jeudi matin, a annoncé dans la soirée le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve, selon qui elle a permis «de mettre en échec un projet d'attentat en France, conduit à un stade avancé».

Des «opérations de déminage sont en cours»

Jeudi dans la soirée, l'opération se poursuivait avec des perquisitions dans un immeuble d'habitation évacué de ses occupants à Argenteuil . Une petite quantité d'explosifs, dont la nature n'a pas été précisée, a été retrouvée au domicile de l'homme interpellé, selon une source policière. Des «opérations de déminage sont en cours afin que les policiers puissent procéder à la perquisition de l'appartement, du parking et des parties communes dans des conditions optimales», a expliqué Bernard Cazeneuve.
A lire aussi: Nouvelles mesures en France pour renforcer la sécurité
​Un vaste périmètre de sécurité a été mis en place, des voitures de police et des policiers en armes barrant l'accès à la rue et maintenant plusieurs dizaines de badauds à distance. «J'ai essayé de rentrer chez moi mais les policiers ne m'ont pas laissé», pestait Karim, 19 ans, habitant dans l'immeuble voisin. Pour sa soeur Kolod, 23 ans, «normalement c'est très tranquille comme quartier». «C'est bizarre mais en même temps c'est rassurant de voir ces policiers», a-t-elle ajouté.
L'homme interpellé ce matin par la DGSI, de nationalité française, est «suspecté d'être impliqué à haut niveau dans ce projet. Il évoluait au sein d'un réseau terroriste qui projetait de frapper la France», a expliqué le ministre de l'Intérieur. Il aurait déjà été condamné à l’étranger pour des actes de terrorisme, d'après ITélé.

http://www.20minutes.fr/societe/attaques-terroristes-paris/

mercredi 23 mars 2016

Saône-et-Loire : quelles sont les causes de la mort de Sophie Zizzutto et de ses enfants ?

Les identités des personnes découvertes sont bien celles de Sophie Zizzutto et de ses deux enfants Liam (3 ans) et Yumi (7 ans), confirme le parquet de Mâcon dans un communiqué mercredi 23 mars 2016.

Les trois victimes n’avaient plus donné signe de vie depuis le 28 janvier 2016.
Une information judiciaire pour disparition inquiétante avait été ouverte vendredi 12 février 2016.

"Le décès à présent constaté met un terme à cette procédure qui se prolongera, sous la responsabilité du parquet de Mâcon, compétent en raison du lieu de découverte des corps, par une enquête pour recherches des causes de la mort", précise le communiqué.

Une autopsie sera réalisée

"La découverte des trois victimes et du véhicule est intervenue dans le cadre de fouilles systématiques de plans d’eau en dehors de tout élément ou indice pouvant favoriser l’hypothèse d’une noyade, volontaire ou accidentelle.

Une autopsie de ces trois personnes sera réalisée dans le cours de la journée du 23 mars de manière à approcher au mieux les causes de la mort. Des prélèvements toxicologiques et au besoin anatomopathologiques seront opérés.

Les causes de ce drame ne sont pas encore connues, mais il conviendra de relever que les enquêteurs n’ont pas noté de traces évidentes de violences sur les corps et que leur immersion dans cette partie du canal peut être évaluée comme remontant à une trentaine de jours", conclut le communiqué du parquet de Mâcon.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/saone-et-loire/saone-et-loire-quelles-sont-les-causes-de-la-mort-de-sophie-zizzutto-et-de-ses-enfants-958589.html

Enquêtes Impossibles, Noyée dans sa baignoire

dimanche 20 mars 2016

Meurtre d'Aurélie Châtelain: Pourquoi la reconstitution est décisive

Quelques jours après la reconstitution des attentats du Bataclan dans le cadre de l’enquête de la commission parlementaire, c’est aujourd’hui le meurtre d’Aurélie Châtelain, retrouvée morte dans son véhicule à Villejuif, le 19 avril 2015, qui est visé par la même procédure. Pour cause, le principal suspect de cette affaire, Sid Ahmed Ghlam, projetait un attentat contre une église de la ville du Val-de-Marne à l’heure de la messe. Le présumé meurtrier ainsi que la famille de la victime se trouvent sur place ce dimanche matin.
>> A lire aussi : Meurtre d'Aurélie Châtelain: reconstitution à Villejuif en présence de Ghlam

La crédibilité de Ghlam mise en cause

« Ils veulent comprendre pourquoi on l’a tuée et comment. L’objet est de vérifier tout ce que Ghlam a pu dire et si cela tient la route », a indiqué Antoine Casubolo Ferro, avocat des proches d’Aurélie Châtelain. La crédibilité de la version du suspect est d’autant plus importante que ce dernier a changé de discours à plusieurs reprises auprès des enquêteurs. En garde à vue, il avait par exemple livré aux enquêteurs une thèse invraisemblable : il aurait trouvé les armes par hasard et voulu s’en débarrasser dans la Seine, avant de se blesser accidentellement.
>> A lire aussi : Mort d'Aurélie Châtelain: Sid Ahmed Ghlam tente d'impliquer un kamikaze du 13 novembre
Le jeune homme a par la suite reconnu avoir été sur les lieux, missionné pour commettre un attentat, projet auquel il aurait renoncé. Il avait alors évoqué un complice. Récemment, il a affirmé que ce complice était l’un des kamikazes du Bataclan, Samy Amimour, thèse considérée comme peu crédible par les enquêteurs.

Quatre kalachnikovs, deux pistolets et des gilets pare-balles

Le 19 avril 2015, peu après avoir retrouvé le corps de la professeure de fitness de 32 ans sur le siège passager de son véhicule, la police a arrêté Sid Ahmed Glam dans le 13e arrondissement de Paris après que celui-ci, blessé par balle, a appelé lui-même les secours. Sur place, les autorités avaient débusqué un véritable arsenal dans son véhicule et sa chambre d’étudiant, notamment quatre kalachnikovs, deux pistolets, des munitions et des gilets pare-balles, sans doute destinés à être utilisés dans l’attentat planifié contre une église de Villejuif.

http://www.20minutes.fr/societe/1809891-20160320-meurtre-aurelie-chatelain-pourquoi-reconstitution-decisive

samedi 19 mars 2016

Arrivée décédée à l’hôpital : de la drogue durant une "free party" à Peyriac serait en cause

Une autopsie avait été ordonnée, mardi dernier, pour connaître les causes du décès de cette femme de 27 ans retrouvée inanimée à Peyriac-Minervois, samedi 12 mars.
Elle avait été amenée en toute urgence par deux connaissances au centre hospitalier de Narbonne. Les urgentistes n’avaient pu que constater le décès de la victime. Les résultats de l’examen post-mortem indiquent que la jeune femme a fait « un arrêt cardiaque en partie lié à l’absorption de produits stupéfiants », a indiqué le procureur de la République, David Charmatz et d’ajouter : « D’autres analyses sont toujours en cours ».
Actuellement, la justice travaille dans le cadre d’une enquête préliminaire afin de rechercher les causes de la mort. Le décès ayant été constaté à Narbonne, ce sont les enquêteurs du commissariat qui sont, pour le moment, chargé de ce dossier. Les investigations se concentrent sur les conditions dans lesquelles ce décès est survenu. Samedi dernier, une cinquantaine de “ravers” s’était installée entre Peyriac-Minervois et Albine dans le Tarn dans un rassemblement en forêt à la belle étoile.
Les membres du groupe ont découvert l’une des leurs inanimée. L’enquête se poursuit
http://www.lindependant.fr/2016/03/19/arrivee-decedee-a-l-hopital-de-la-drogue-durant-une-free-party-a-peyriac-serait-en-cause,2172590.php

samedi 5 mars 2016

La victime pendue par les pieds au-dessus du fût

Eugène Satori a reconnu avoir donné la mort à Denis Garni, un homme d’une trentaine d’années auquel il louait une petite maison située rue des Jeu-des-Enfants à Dettwiller, dans la région de Saverne.
Ses aveux au cours de la deuxième journée de garde à vue n’ont pas été spontanés et de nombreux points restent encore à éclaircir pour les militaires de la section de recherches (SR) de Strasbourg, qui ont travaillé de concert avec leurs collègues de la brigade de recherches (BR) de Saverne. « Il a tenté de minimiser les faits et a livré plusieurs versions différentes », confie un enquêteur.

Des écoutes téléphoniques très instructives

Les gendarmes étaient à peu près certains de tenir leur suspect lorsqu’ils ont interpellé Eugène Satori, mardi matin, à son domicile de Monswiller. Toutes les investigations menées en amont reliaient le père de famille de 50 ans au décès du maçon né en 1981, et qui vivait dans une certaine marginalité. Les écoutes téléphoniques ont ainsi appris aux gendarmes que le suspect usurpait l’identité de son locataire pour réaliser des travaux de maçonnerie qu’il déclarait au nom de Denis Garni. Il touchait dans le même temps sous son vrai nom une pension d’invalidité suite à un accident du travail l’empêchant en théorie d’exercer une activité rémunérée.
Mais l’élément le plus confondant a été fourni aux forces de l’ordre par le fils d’Eugène Satori. Dans le courant de l’année 2015, celui-ci leur a révélé l’existence d’une photographie prise par son père dans le garage de la propriété de Dettwiller, où il résidait à l’époque. Sur le cliché, on voit Denis Garni, que le fils présente comme un ami de son père, accroché par les pieds à une sorte de palan. Le corps est suspendu à la verticale au-dessus d’un tonneau.

Des coups qui lui ont fracturé le crâne

Or le cadavre de Denis Garni, que les gendarmes ont découvert mardi matin à Dettwiller, se trouvait dans ce même garage. Le local était aménagé en atelier de mécanique, avec une fosse pour effectuer des réparations sur des véhicules. Le corps, dont l’identification formelle a pu être réalisée jeudi soir, était immergé dans un fût métallique rempli d’huile de moteur.
L’autopsie pratiquée jeudi après-midi à l’institut de médecine légale de Strasbourg a quant à elle permis d’établir que le jeune maçon avait été violemment frappé à l’arrière de la tête avec un objet, ce qui a provoqué une fracture du crâne et vraisemblablement conduit à sa mort. La nature de l’arme utilisée pour porter les coups n’est en revanche pas connue à ce stade du dossier. Pas plus que le lieu du crime, qui pourrait cependant être le garage où des traces de sang ont été découvertes. Eugène Satori, qui a été écroué à la maison d’arrêt de Strasbourg, sera réentendu sur ces points dans les prochaines semaines.
Il devra aussi lever le voile sur un autre élément crucial de l’affaire : Denis Garni était-il toujours vivant au moment de la photo dans le garage ? Impossible à dire en observant l’image dans le détail. Mais une réponse affirmative à cette question ouvrirait la voie à la caractérisation des actes de torture et de barbarie que le juge d’instruction a retenus lors de la mise en examen du quinquagénaire. Et qui lui font encourir la réclusion criminelle à perpétuité.
http://www.dna.fr/faits-divers/2016/03/05/la-victime-pendue-par-les-pieds-au-dessus-du-fut

vendredi 4 mars 2016

La Reynerie : tué de plusieurs balles pour un mobile mystérieux

Abdelhakim Derqaoui, ce père de famille de 32 ans, tué mardi soir quartier Reynerie, à Toulouse, a été touché de plusieurs balles de 9 mm, probablement six, dont une en pleine tête. C'est ce que révèle l'autopsie pratiquée mercredi.
Un homme «sorti des affaires», «apprécié et respecté» dans son quartier, «prêt à rendre service…» C'est en substance les grandes lignes du portrait dressé par les proches d'Abdelhakim Derqaoui, ce père de famille de 32 ans, tué mardi soir par des coups de feu tirés par un inconnu en fuite, quartier La Reynerie, à Toulouse.
Saisis par le parquet, les enquêteurs de la police judiciaire travaillent sur plusieurs hypothèses n'écartant aucune piste, y compris celle d'un règlement de comptes, d'un possible guet-apens ou d'une affaire strictement privée. Deux jours après, les contours du mobile du crime peinent à se dessiner.
Mercredi, l'autopsie pratiquée sur le corps de la victime a révélé la présence de nombreux impacts de balle. Abdelhakim Derqaoui a été tué de plusieurs balles de 9 mm, très probablement six. L'un de ces projectiles s'est logé en pleine tête. Un déchaînement de violence qui reste encore inexpliqué. Mardi soir, le corps de cet homme est retrouvé dans un hall d'entrée du cheminement Auriacombe, au numéro 16 précisément. Les balles viennent de l'atteindre dans le haut du corps et le tireur vient de prendre la fuite. Que s'est-il passé dans les secondes qui ont précédé cette froide exécution ?

Condamné en 2011

Les enquêteurs tentent de remonter l'emploi du temps de la victime qui travaillait dans une boulangerie de la place Anthonioz-de-Gaulle, quartier La Faourette, au Mirail, à moins de 2 kilomètres des lieux du crime. Des investigations autour de son environnement devraient permettre d'y voir plus clair dans les prochains jours. Ce père de famille, très connu dans les quartiers de Bagatelle et La Faourette, n'avait plus fait parler de lui depuis près de 5 ans. Il avait été condamné à 2 ans de prison en 2011, par le tribunal correctionnel, dans une affaire de transport de drogue, à bord d'une Audi RS, entre deux cités toulousaines. Difficile pour autant d'établir le moindre rapprochement entre ces anciens dossiers et l'attaque brutale dont il a été victime. Dernièrement, il était en attente d'un aménagement de peine dans une affaire d'escroquerie. Pour ces proches, «il avait tourné la page de toutes ces années et veillait à l'éducation de son fils».

http://www.ladepeche.fr/article/2016/03/04/2297372-la-reynerie-tue-de-plusieurs-balles-pour-un-mobile-mysterieux.html