lundi 30 septembre 2013

Cahors. Un retraité retrouvé mort, le crâne fracassé, au bord du Lot

Un septuagénaire a été retrouvé mort hier matin, le long des quais à Cabessut. La victime présentait une plaie profonde au niveau du front. L’enquête criminelle a été confiée aux policiers cadurciens et à leurs collègues de SRPJ de Toulouse. Un individu est en garde à vue.
Les joggeurs qui ont l’habitude le dimanche de courir le long du Lot, depuis le pont de Cabessut en direction du stade Lucien Desprats ont été déroutés hier matin. Ce quartier d’ordinaire si paisible ne vibrant que les jours de derby en rugby, s’est retrouvé bouclé avec des déviations et des barrières. Un périmètre de sécurité hermétique instauré par la police afin de préserver la scène d’un crime.
À hauteur du gymnase de l’école normale, de l’autre côté de la rue, sur les quais, derrière une barrière le cadavre d’un homme a été découvert hier à 8 h 30. Le corps gisait tout près du chantier en cours pour l’installation du réseau de chaleur. C’est une passante qui promenait son chien qui a fait la découverte macabre. La victime aurait été retrouvée le corps à moitié dévêtu sa chemise et son pull se trouvant à côté. Le mort présentait une plaie très importante au niveau du crâne.

La victime, un septuagénaire domicilié à Cahors

Les services de police ont rapidement investi les lieux. À la demande du procureur de la République, Nicolas Septe qui souhaite «aller vite dans cette affaire», les enquêteurs de la Brigade de sûreté urbaine du commissariat de Cahors travaillent avec leurs collègues du SRPJ de Toulouse. Les techniciens de la police scientifique ont procédé aux premières constatations dès la découverte du corps sur le chemin de terre. Puis les investigations se sont élargies à la zone autour, pour repérer des indices éventuels. Les policiers se sont intéressés aux vêtements de la victime, chemise blanche, pull bleu et ont fouillé le chantier tout proche à la recherche d’objet qui aurait pu être utilisé pour frapper à mort la victime. En tout début d’après-midi, le cadavre était amené à la morgue du centre hospitalier de Cahors avant d’être transféré sur l’Institut médico-légal de Toulouse pour y être autopsié.
Selon les éléments divulgués par le procureur hier en fin de journée, l’examen du corps par le médecin légiste devrait avoir lieu dès aujourd’hui. Des analyses toxicologiques et ADN seront aussi pratiquées. Les enquêteurs en sauront alors davantage sur les causes du décès.
«La victime, précisait hier soir Nicolas Septe, présentait une plaie au front et une blessure à la main».
L’enquête ne fait que débuter, les policiers étudient toutes les pistes et examinent l’environnement de la victime, de cet homme âgé de plus de 70 ans qui habitait seul à Cahors et qui apparemment menait une vie sans histoire.

Un individu en garde à vue

La vie de la victime et ses dernières heures sont décortiquées par les policiers. Même si le crime n’a pas eu de témoin, les enquêteurs disposent d’informations sur les événements qui se seraient passés dans la soirée de samedi et qui pourraient avoir une importante sur l’épilogue tragique au bord du Lot. Ainsi, le septuagénaire aurait été aperçu dans la soirée errant dans le centre-ville. Il aurait été vu à proximité d’un bar, établissement où il aurait été éconduit.
En cours de journée, hier, l’enquête a connu une brusque accélération et un rebondissement lorsqu’un individu s’est présenté spontanément au commissariat de Cahors en déclarant qu’il était la dernière personne à avoir vu le septuagénaire vivant.
Ce témoin clé qui intéresse fortement les policiers, a aussitôt été place en garde à vue pour être entendu au plus vite par les enquêteurs. qui ne veulent pas perdre de temps.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/30/1720239-cahors-un-retraite-retrouve-mort-au-bord-du-lot.html

dimanche 29 septembre 2013

La petite soeur de Fiona a subi des violences

La lumière est loin d’être faite sur le sinistre climat qui régnait au sein de la famille de Cécile Bourgeon, la mère de Fiona. Mardi soir, lorsque la jeune femme et son compagnon Berkane Maklouf ont été interpellés dans leur appartement de la résidence El Vives, à Perpignan, les deux autres enfants de la mère, une fillette de 2 ans, et sa petite sœur, née au mois d’août, ont été confiés à la mère de Cécile Bourgeon.
Cette dernière vit à Perpignan, et c’est soi-disant pour se rapprocher d’elle que le couple avait quitté Clermont-Ferrand pour les Pyrénées-Orientales. En fin de semaine, après les heures dramatiques qui se sont enchaînées, avec les aveux de la mort de l’enfant de 5 ans, et les recherches infructueuses menées en Auvergne, une autre réalité s’est imposée. Le mari de la mère de Cécile, sous-officier de gendarmerie, a en effet déposé plainte, après avoir constaté, avec son épouse, des traces de coups sur la tête de la sœur de 2 ans.

La fillette entendue
« Il y a des hématomes sur le cuir chevelu et au niveau d’une oreille », confirme une source proche de l’enquête. L’enfant a été ensuite examinée par un médecin légiste, qui a dressé un certificat médical. Aucune trace de violences sexuelles n’a été relevée. La fillette a également été entendue par des gendarmes spécialisés dans l’audition de mineurs victimes de sévices, habitués au contact avec des tout-petits.
« L’hypothèse de l’existence de mauvais traitements répétés n’est pas à exclure », indique une source proche du dossier. Le procureur de la République de Clermont-Ferrand, ainsi que les enquêteurs de la PJ chargés de retrouver le corps de Fiona ont été informés de la situation : la procédure établie à Perpignan devrait être jointe au dossier judiciaire global. Berkane Maklouf et Cécile Bourgeon devraient être entendus prochainement sur ces faits, qui viennent noircir un peu plus encore le portrait de ce couple.
Jeudi, le procureur de Clermont- Ferrand avait indiqué que lorsqu’ils avaient enterré le corps de Fiona, à la lisière d’une forêt, sa sœur de 2 ans était présente. Une fillette qui a visiblement subi après cela d’autres traumatismes encore, alors que sa mère, comme son compagnon, affirmaient devant les caméras n’avoir qu’un seul souci au monde, retrouver leur petite fille disparue, en attendant la naissance du dernier enfant. Les traces relevées sur la tête de la cadette semblent en tout cas indiquer que le climat de violence a perduré au sein de la famille après la mort de Fiona. Avec une nouvelle cible : sa petite sœur de 2 ans.
Les fouilles pour retrouver le corps de Fiona ont été interrompues ce week-end. La découverte de ce dernier pourrait permettre de départager les versions de la mère et de son compagnon, la première accusant le second d’avoir porté un coup fatal à l’enfant tandis que celui-ci soutient que la fillette se serait étouffée dans son vomi.

http://www.lindependant.fr/2013/09/28/la-petite-soeur-de-fiona-a-subi-des-violences,1794179.php

samedi 28 septembre 2013

Vercors. Des pilleurs arrêtés avec 1,6 tonne de champignons

Treize Roumains et un Espagnol ont été interpellés dans la nuit de jeudi à vendredi près de Valence en possession de 1,6 tonne de champignons cueillis frauduleusement dans une forêt du Vercors. Ces interpellations sont intervenues dans le cadre de la lutte contre le trafic de lactaires délicieux et son ramassage dans le Vercors. L’opération a été menée sur l’A7 et à Valence.
Les champignons également appelés rude, catalan, roussillous, safran, sanguin ou marseillais sont très prisés sur les marchés espagnols où l’on négocie le kilo entre 10 et 30 euros.
Les treize Roumains et l’Espagnol qui les avaient recrutés ont été placés en garde à vue. Ils encourent jusqu’à trois ans de prison.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/28/1719327-vercors-des-pilleurs-arretes-avec-1-6-tonne-de-champignons.html

vendredi 27 septembre 2013

Vol de lingots d'or à Roissy: 6 suspects arrêtés

Six hommes ont été arrêtés ce matin en région parisienne, soupçonnés d'avoir participé au vol, la semaine dernière à l'aéroport de Roissy, d'une cinquantaine de kilos de lingots d'or dans les soutes d'un avion de la compagnie Air France, ont indiqué deux sources proches du dossier à l'AFP.

Les suspects ont été interpellés en Seine-Saint-Denis, en Seine-et-Marne et dans le Val-d'Oise, trois départements franciliens qui touchent l'aéroport de Roissy-Charles de Gaulle, selon une source proche de l'enquête. Une deuxième source a confirmé ces arrestations.

Des perquisitions, pour retrouver notamment le précieux butin et des éléments permettant de mettre en cause les suspects, étaient en cours ce matin, a ajouté la source proche de l'enquête, confiée à la Section de recherches de la gendarmerie du transport aérien.
Il n'était pas encore clair ce matin si les suspects travaillaient dans la zone réservée de l'aéroport, ni pour quelle entreprise. Des salariés de Brink's International étaient chargés du transport de cette cargaison de haute valeur, mais les soutes sont également accessibles aux salariés de la compagnie et de sociétés sous-traitantes, comme celles s'occupant du transport de bagages ou de fret. Brink's avait assuré mardi que "ces colis n'étaient pas sous sa responsabilité quand ils ont disparu", et Air France a annoncé avoir porté plainte.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/09/27/97001-20130927FILWWW00274-vol-de-lingots-d-or-a-roissy-6-suspects-arretes.php

jeudi 26 septembre 2013

EN DIRECT. Affaire Fiona: Le corps n'a pas été retrouvé, le dispositif de fouilles est levé

Suivez les évènements en direct en cliquant sur ce lien ...........http://www.20minutes.fr/article/1228207/20130926-direct-affaire-fiona-fouilles-debute-a-clermont-ferrand

Quatre mois après la disparition de la fillette, la mère et le beau-père ont avoué qu'elle était morte, chacun donnant sa version sur les circonstances du décès...
15h55: L'information judiciaire pourrait être requalifiée

Lorsque le couple sera présenté au juge d'instruction en fin d'après-midi, celui-ci devra communiquer la procédure au parquet qui prendra de nouvelles réquisitions, a expliqué une source judiciaire. Le parquet pourra alors requalifier l'information judiciaire qui avait été ouverte en mai dernier pour «enlèvement et séquestration», juste après le signalement de la disparition de la fillette.
15h50: La mère sera déférée au palais de justice en fin d'après-midi

Selon l'avocat, Cécile Bourgeon est actuellement en garde à vue à l'hôtel de police de Clermont et devrait être déférée au palais de justice en fin d'après-midi, sa garde à vue se terminant à 18 heures.

15h30: Le corps n'a pas été retrouvé

Le corps de la petite Fiona, n'a pas été retrouvé près du lac d'Aydat et les fouilles ont été suspendues, a-t-on appris de sources concordantes. «En l'état, le corps de l'enfant n'a pas été retrouvé», a confirmé aux journalistes sur place Me Gilles-Jean Portejoie, avocat de Cécile Bourgeon.
14h45: Cécile Bourgeon est arrivée sur les lieux

Selon La Montagne et BFMTV, la mère de Fiona, cécile Bourgeon, est arrivée sur les lieux des fouilles, près du lac d'Aydat, au sud de Clermont-Ferrand.
 

Paris: suspecté d'avoir tué un SDF et laissé le corps plusieurs jours chez lui

La police a arrêté jeudi un homme suspecté d'avoir tué un SDF qu'il abritait chez lui, dans le IIIe arrondissement, et d'avoir laissé le corps plusieurs jours dans son appartement.

Selon les premiers éléments de l'enquête, c'est une dispute en plein soirée alcoolisée qui serait à l'origine un drame. La police a arrêté un homme suspecté d'avoir tué un SDF qu'il abritait chez lui dans le IIIe arrondissement, depuis lundi, et d'avoir laissé le corps plusieurs jours dans son appartement.

Mercredi peu avant minuit, les policiers reçoivent un appel téléphonique d'un homme expliquant que l'un de ses amis lui a confié avoir tué un SDF qu'il hébergeait depuis plusieurs jours. Les policiers du IIIe arrondissement parisien se rendent alors au domicile du meurtrier présumé rue des Coutures Saint-Gervais, en plein quartier du Marais, et découvrent le propriétaire des lieux, "totalement ivre", et la présence d'un corps sans vie dans l'appartement, selon une source policière. L'homme, qui a soufflé à 1,22 mg/l d'air expiré, a été place en "garde à vue différée", et doit être entendu par les enquêteurs après être passé en dégrisement.

Il semble que les deux hommes, "en état d'ivresse au moment des faits" se soient disputés lundi, date de la mort présumée du SDF. A la suite de cette dispute, le suspect aurait alors "frappé avec un tesson de bouteille puis poignardé à mort ce SDF", a assuré la source. Le 1er district de police judiciaire (1er DPJ) a été saisi de l'enquête.
 

mercredi 25 septembre 2013

Disparition de Fiona : la mère serait passée aux aveux

La fillette de 5 ans, disparue en mai dans un parc à Clermond-Ferrant selon sa mère, aurait en fait "succombé à un coup porté par le compagnon de celle-ci" et son corps aurait "été dissimulé", a affirmé mercredi soir l'avocat de la mère selon La Montagne et France 3.

Cécile Bourgeon aurait menti. La mère de Fiona "n'était pas dans le parc" où la fillette de 5 ans est censée avoir disparu le 12 mai, ont indiqué mercredi de sources proches de l'enquête, contredisant la version donnée par cette femme de 25 ans en garde à vue depuis mardi. Nouvel élement, livré cette fois par son avocat cité par le site de La Montagne et France 3, la mère serait passée aux aveux ce mercredi soir. Selon son nouveau récit, sa fille aurait en fait "succombé à un coup porté par le compagnon de celle-ci" et son corps aurait "été dissimulé".
Le Parisien affirme pour sa part que la mère de Fiona et son compagnon avaient consulté "des archives de presse sur internet concernant des affaires de disparitions d'enfants, quelques jours avant la disparition supposée de l'enfant".
Fête très alcoolisée
Cécile Bourgeon a été interpellée mardi à Perpignan avec son compagnon, Berkane Maklouf. Trois autres personnes, des proches du couple, sont aussi en garde à vue à Clermont-Ferrand . Selon les mêmes sources, "les enquêteurs n'ont pas mis la mère en garde à vue rapidement car elle était enceinte, mais ils auraient bien aimé. Elle a accouché en août, ils ont attendu un mois pour la mettre en garde à vue".
L'enquête, notamment grâce à une surveillance étroite, "a permis d'établir que les cinq personnes gardées à vue ont fait la fête et étaient très alcoolisées la veille ou l'avant-veille de la disparition présumée", a-t-on appris de même source. Les enquêteurs "pensent que quelque chose s'est passé ce soir-là."
 

Nantes. Un vaste trafic de cartes bancaires démantelé

14 personnes ont été interpellées lundi à Nantes, dans le cadre d’une enquête portant sur une vaste arnaque à la carte bancaire.
Dans cette affaire, 14 personnes ont été interpellées lundi. Sur ces 14 personnes, 6 ont été mises en examen, dont trois pour possession de faux documents, et trois pour possession d’articles achetés frauduleusement. Les autres ont été libérées.
200 000 € de préjudice
Ils sont accusés d’avoir utilisé 600 cartes contrefaites dans divers magasins. Les achats concernaient des bijoux, des meubles, de l’alcool ou encore des vêtements. Le préjudice pour les commerçants nantais est évalué à 200 000 €.
L’enquête a été résolue par la direction départementale de la sécurité publique et la direction départementale de la police aux frontières. Dans le cadre de cette enquête, une filière d’aide a l’entrée des étrangers et d’aide aux séjours irréguliers a aussi été démantelée.
Proxénétisme ?
Dans le cadre de cette affaire, les enquêteurs ont également découvert un réseau de proxénétisme. Un homme de 50 ans, en lien avec les personnes interpellées, est soupçonné d’avoir mis à disposition 30 logements à des prostitués à Nantes.
 

Des dizaines de lingots d'or disparus sur le Paris-Zurich : comment ont-ils été volés ?

Comment les lingots ont-ils disparu ? Les gendarmes cherchent d'éventuelles complicités dans l'enquête sur le vol de dizaines de lingots d'or des soutes d'un avion de la compagnie Air France reliant Paris à Zurich, cherchant d'éventuelles complicités à l'aéroport de Roissy. Récit.

Les forces de l'ordre poursuivaient leur enquête mardi sur le vol d'une cinquantaine de kilos de lingots d'or des soutes d'un avion de la compagnie Air France reliant Paris à Zurich, que vous révélait dès lundi soir MYTF1News. Ils étaient notamment à la recherche d'éventuelles complicités à l'aéroport de Roissy-Charles de Gaulle. Selon trois sources, il y a peu de doutes que le vol de cet or, d'une valeur de 1,5 million d'euros, a été commis au moment du départ de Roissy et non jeudi après son arrivée dans l'aéroport suisse. Une source aéroportuaire a précisé que les voleurs avaient "très certainement profité de complicités" sur le tarmac de l'aéroport parisien.
Le vol de ces lingots, convoyés par la société américaine de transport de valeurs Brink's qui les a chargés dans les soutes de l'appareil d'Air France, n'a été découvert que le lendemain, vendredi, a indiqué cette source. Brink's a assuré mardi matin que l'or volé n'était "pas sous sa responsabilité" quand il a disparu. "En effet, la mission confiée à la Brink's se limitait à assurer la sécurité de cet envoi durant son transit à Roissy, mission dont Brink's s'est parfaitement acquittée", a-t-elle précisé.
 
Sur quel tarmac ?
Les enquêteurs de la section de recherche de la gendarmerie du transport aérien, une unité spécialisée basée à Roissy-Charles de Gaulle, n'excluent de leur côté aucune piste et essaient de déterminer le moment, l'endroit et la manière dont l'or a disparu, selon une source proche du dossier. L'identité du destinataire final n'a pas été divulguée. A chaque chargement de ce type la procédure veut que les employés de la Brink's déposent eux-mêmes les colis en soute et restent sur le tarmac jusqu'à la fermeture des portes et au départ de l'appareil, ont détaillé plusieurs sources. Des manutentionnaires d'autres sociétés sous-traitantes d'Air France, par exemple pour le transport des bagages, sont également présents. A l'arrivée du vol à Zurich jeudi, ce sont des employés d'Air France qui se sont occupés de la cargaison.
Les vols Paris-Zurich, des liaisons commerciales ordinaires, accueillent quasi-quotidiennement ce type de chargement de valeurs, ont ajouté deux sources. La Brink's de son côté a affirmé qu'elle travaillait "en fonction des contrats qui (lui étaient) confiés", avec des jours et des horaires de chargement qui pouvaient varier. De son côté, Air France a annoncé mardi avoir déposé plainte auprès de la gendarmerie du transport aérien "dès qu'elle a été informée de ce vol". "En tant que victime, nous espérons que les investigations permettront de déterminer rapidement l'enchaînement des faits et les responsabilités", a précisé un porte-parole.
Vendredi, jour où ce vol a été signalé, les forces de l'ordre avaient procédé à la saisie record de plus de 1,3 tonne de cocaïne pure, transportée dans un avion d'Air France en provenance de Caracas.
 

mardi 24 septembre 2013

Un tronc humain découvert à Paris

Un tronc humain, en état de décomposition avancée, a été découvert mardi vers la porte de Saint-Ouen, dans le 18ème arrondissement de Paris, a appris Europe 1. Ce sont des ouvriers d'une société prestataire de la RATP qui ont fait la macabre découverte dans une gaine technique située sous un trottoir.
L'état du cadavre n'a pas permis d'identifier la victime, ni même de déterminer s'il s'agit d'un homme ou d'une femme.
L'enquête, initialement confiée au 2ème district de la Police judiciaire, a été transférée à la brigade criminelle du 36 quai des Orfèvres.
 

Côte-d'Or : le père toujours recherché

La fillette de six ans retrouvée morte lundi en Côte-d'Or est décédée d'un coup violent porté à une tempe et son père n'a toujours pas été retrouvé, a annoncé mardi le parquet. "L'autopsie du corps de la fillette a conclu à un décès consécutif à un traumatisme crânien suite à un coup violent porté au niveau de la tempe droite à l'aide d'un objet contondant.
En l'état, les enquêteurs n'ont aucune certitude quant à l'objet qui aurait pu être utilisé", a précisé le procureur de la République à Dijon, Marie-Christine Tarrare, dans un communiqué. Le médecin légiste a précisé que le décès remontait à la nuit de samedi à dimanche.
Le père de l'enfant n'a toujours pas été retrouvé. Agé de 40 ans, sans emploi, le père serait parti en VTT, son véhicule ayant été retrouvé dans le garage de la maison. Le parquet avait indiqué lundi qu'il était "activement recherché comme témoin principal".
 

lundi 23 septembre 2013

Un Marocain de 31 ans retrouvé mort dans le port de Bonifacio

Un corps a été retrouvé dans la nuit de samedi à dimanche dans le port de Bonifacio. Il s'agirait d'un ressortissant marocain de 31 ans, rapporte France 3 Corse.

Son cadavre a été découvert par des passants dans les eaux du port de Bonifacio dans la nuit de samedi à dimanche. Le corps a été identifié ce dimanche dans la matinée. Selon les premiers éléments de l'enquête, il s'agirait de Zoundri El Houssine, un ressortissant marocian de 31 ans, rapporte France 3 Corse sur son site internet.

L'homme, qui était employé dans un cybercafé à Bonifacio, n'avait pas donné de nouvelles à son employeur depuis 48 heures. Le corps était déjà en décomposition, lorsque les passants ont fait la macabre découverte autour de minuit quai Jérôme Comparetti.
 
 

dimanche 22 septembre 2013

Braquage du Pasino d'Aix : 5 malfaiteurs écroués, une femme relâchée

Sur les six personnes interpellées en début de semaine dans le cadre des braquages du casino Barrière de Cassis, en février 2011, et des deux attaques du Pasino d’Aix -dont la seconde avait fini en fusillade avec la police - en avril et juin 2011, une femme a été relâchée. Et placée sous le statut de témoin assisté et les cinq autres ont été mises en examen pour "vol à main armée en bande organisée, association de malfaiteurs et tentative de meurtre sur un représentant de la force publique", en l’occurrence un policier, et écrouées dans la foulée.
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Il est des habitudes, des façons de procéder, de se protéger aussi, qui coûtent cher. Comment les limiers de la Police judiciaire de Marseille auraient-ils pu ne pas faire le lien entre les trois braquages de casinos perpétrés en seulement 4 mois entre Aix et Cassis ? Comment auraient-ils pu ne pas être interpellés par le fait que les braqueurs du casino Barrière de Cassis - le 26 février 2011 pour quelques dizaines de milliers d'euros - et ceux qui avaient attaqué à deux reprises le Pasino Partouche d'Aix, les 17 avril et 25 juin 2011 - pour 100 000 et 130 000 euros - avaient tous pris soin de scotcher leurs vêtements aux poignets et aux chevilles ? Comment auraient-ils pu passer à côté de la concordance dans les dires de témoins qui les avaient vus ou entendus chronométrer leur braquage, à chaque fois ?
C'est une même voix, entendue par un employé du Pasino d'Aix, sur les deux braquages de son établissement, qui a conforté la thèse d'une seule équipe dans l'esprit des enquêteurs de la PJ. Mais c'est un renseignement concernant un braqueur blessé par un tir lors de la seconde attaque - alors que la police venait d'arriver sur place et qu'une fusillade avait éclaté - qui a accéléré les investigations.
"Un groupe constitué de beaux gars, pas des petits cons ; des braqueurs, des vrais, des pros"
Peu à peu, les enquêteurs ont analysé la toile des relations de cet homme. Des recherches qui les ont amenés à "un groupe constitué" comme le qualifiait hier une source proche de l'enquête. Un "groupe constitué" qui avait pour habitude - une de celles qui vous perdent encore une fois - d'utiliser des téléphones capverdiens, à chaque attaque. Un "groupe constitué" qui comptait parmi ses relations proches deux hommes aujourd'hui décédés : Adrien Anigo, tué il y a deux semaines, et Alexandre Distanti, tué, lui, en octobre 2011 par la police espagnole, après un braquage raté dans une bijouterie à Alicante. Le décès soudain du premier aurait d'ailleurs, selon nos sources, amené les policiers à procéder rapidement à une série d'interpellations en début de semaine dans le cadre de cette affaire.
Ce "groupe constitué", dont six personnes ont donc été interpellées, qui, après 96 heures de garde à vue, ont été hier déférées au parquet d'Aix-en-Provence et dont cinq ont été ensuite présentées, dans la soirée, à un juge de la détention et de la liberté (JLD), serait bâti sur "de beaux gars comme on dit dans le milieu judiciaire, admettait hier l'une de nos sources, pas des petits cons, des braqueurs, des vrais, des pros". Leur moyenne d'âge se situerait dans la trentaine et, hier soir, à l'heure où nous mettions sous presse, nous ne savions pas quel sort leur avait été réservé par le JLD : la liberté sous contrôle judiciaire ou le placement sous écrou. Reste qu'ils étaient tous sous le coup d'une mise en examen pour "vol à main armée en bande organisée et association de malfaiteurs" menée par la juge d'instruction aixoise Nathalie Marty.
Hier soir, le président du directoire des casinos Partouche, Fabrice Paire, confiait son soulagement : "Si ce sont bien les braqueurs de notre établissement aixois, c'est évidemment une satisfaction et surtout un message fort envoyé sur le fait que ce genre d'acte ne reste jamais impuni, d'autant que, pour les sommes volées, étant donné que l'on ne trouve plus de grosses sommes dans les casinos, le risque n'en vaut pas la chandelle".

http://www.laprovence.com/article/actualites/2540153/braquage-des-casinos-daix-et-de-cassis-six-interpellations.html

samedi 21 septembre 2013

Landes : un corps retrouvé dans une voiture calcinée à Sainte-Eulalie-en-Born

Le corps sans vie d'une personne a été retrouvé dans une voiture entièrement calcinée, ce samedi, peu après 5 heures du matin, sur une portion de la départementale 652 située sur la commune de Saint-Eulalie-en-Born.
La victime n'a pas encore été formellement identifiée. Les techniciens en investigation criminelle ont été dépêchés sur les lieux.

Contrairement à la première piste envisagée, il semblerait qu'il ne s'agisse pas d'un acte criminel.
Les enquêteurs de la gendarmerie confiait toutefois à 11 heures qu'il était trop tôt pour se prononcer définitivement sur la question.

http://www.sudouest.fr/2013/09/21/landes-un-corps-retrouve-dans-une-voiture-calcinee-a-sainte-eulalie-en-born-1175947-3452.php

vendredi 20 septembre 2013

Retrouvé mort dans sa chambre le crâne fracassé

PORTE défoncée, mur maculé de sang, la scène de crime semble avoir été effroyable. Le cadavre d'un homme a été retrouvé hier vers 12 h 30 baignant dans son sang dans sa chambre du bar hôtel Le Marcassin, place d'Arches à Mézières. Le crâne fracturé, la victime, âgée d'environ 70 ans, aurait reçu au moins cinq coups par un objet contendant selon les premières constatations effectuées par les enquêteurs.
Un homme placé en garde à vue
Un homme, plus jeune, résidant également dans cet établissement a été interpellé hier puis placé en garde à vue. Il serait considéré comme le principal suspect d'après une source proche de l'enquête. Connu des services de police, il l'est également des habitants du quartier. Le voisinage le décrit comme étant « déséquilibré ». L'homme, marginal se serait parfois montré agressif si ce n'est violent.
Tout comme la victime, le suspect présumé est issu d'un milieu défavorisé et logerait dans l'hôtel en tant que pensionnaire. Cet établissement a en effet l'habitude d'accueillir une population déclassée (sur placement des services sociaux notamment), tout en étant néanmoins fréquenté par une clientèle d'habitués et même des notables du quartier.
Aucune information n'a filtré quant aux raisons ayant conduit à cet homicide, mais il est certain que le drame s'est joué sur fond de précarité criant. La police technique et scientifique ainsi que le médecin légiste se sont rendus sur place. Le Parquet de Reims a été saisi, et l'enquête a été confiée au SRPJ de Reims.

http://www.lunion.presse.fr/region/retrouve-mort-dans-sa-chambre-le-crane-fracasse-jna18b0n208453

jeudi 19 septembre 2013

Hérault : 74 ans et 52 plants de cannabis dans sa maison

Le septuagénaire qui s'est fait arrêter par les gendarmes a raconté qu'il souhaitait arrondir ses fins de mois.

Il n'y a pas d'âge pour jardiner. Les gendarmes de Clermont-l'Hérault (Hérault) ont découvert mardi 52 plants de cannabis dans la maison d'un homme de 74 ans.

Le retraité, qui cultivait ses plants dans sa demeure située dans la commune de Pouget, à une trentaine de kilomètres à l'ouest de Montpellier, a été arrêté par les gendarmes et a reconnu les faits, expliquant qu'il s'était lancé dans cette production pour arrondir ses fins de mois difficiles.

Le septuagénaire a été remis en liberté et sera convoqué devant la justice en décembre.
 

mercredi 18 septembre 2013

Un cadavre retrouvé dans un coffre

La piste criminelle était privilégiée après la découverte du corps d'un homme, mardi, dans le coffre d'une voiture dans un village des Pyrénées-Atlantiques, a-t-on appris mercredi auprès du parquet de Bayonne.
Le corps de l'homme, dont l'identité n'est pas encore confirmée, a été retrouvé par les gendarmes, ficelé dans le coffre d'une voiture sur la commune d'Urt, à 15 km à l'est de Bayonne, a indiqué à une correspondante de l'AFP la procureure de la République de Bayonne, Anne Kayanakis.
"L'hypothèse d'un homicide est privilégiée", a-t-elle précisé. Les gendarmes avaient été alertés mardi matin par des passants intrigués par le véhicule, stationné en bordure de la rivière Adour, qui "présentait des traces de début d'incendie", selon la même source, confirmant une information du quotidien Sud Ouest.

dimanche 15 septembre 2013

Roquevaire : double homicide, les gendarmes lancent un appel à témoins

Dans l'enquête sur le double homicide commis dans la nuit du vendredi 23 août au domicile d'un couple de retraités résidant sur la commune de Roquevaire, les gendarmes de la Section de recherches de Marseille cherchent à recueillir tout témoignage sur l'éventuelle présence d'un véhicule ou d'une personne sur le bord de la route départementale 96, et plus particulièrement à hauteur du lieu-dit "Le Vallon Saint-Vincent", le 23 août entre 5 et 7 heures du matin.
En effet, à l'aube, un couple de retraités roquevairois a été découvert gisant au sol dans leur chambre. Le mari et l'épouse, âgés respectivement de 78 et 60 ans, ont été abattus de plusieurs coups de fusil de chasse leur appartenant.
Des voisins de cette villa assez isolée ont entendu le bruit de plusieurs coups de feu et peu après, le fils du couple a alerté la gendarmerie qui a vite écarté l'hypothèse d'une effraction ou de l'intervention d'un rôdeur.

Les explications données par le fils, un chauffeur routier âgé de 39 ans, seul au moment des faits avec ses parents chez lesquels il vivait, ne correspondant pas aux premières constatations des enquêteurs, il a donc été placé en garde à vue. L'homme ne présentant apparemment pas de troubles psychologiques, il a été incarcéré à la prison des Baumettes.

En revanche, l'enquête de la Section de recherches de Marseille se poursuit et toute personne ayant aperçu une présence ou un fait inhabituel en bordure de ce chemin qui jouxte la route départementale 96, à la sortie de Roquevaire et juste avant l'entrée de Pont-de-Joux, est invité à contacter les services de gendarmerie.
Contact : Section de recherches de Marseille, Centre opérationnel de la gendarmerie, Marseille. 04 96 12 14 81.

http://www.laprovence.com/article/actualites/2531214/roquevaire-double-homicide-les-gendarmes-lancent-un-appel-a-temoins.html

vendredi 13 septembre 2013

Trafic d'armes entre Marseille et la Corse: Une quinzaine de personnes interpellées, dont un syndicaliste

Un syndicaliste, marin de la SNCM, est suspecté d'avoir acheminé drogue et armes à bord de bateaux de la compagnie...
Une quinzaine de personnes ont été interpellées à Marseille et en Corse dans le cadre d'une enquête portant sur un trafic d'armes et de stupéfiants entre le continent et l'île, a-t-on appris vendredi auprès du parquet de Marseille.
Parmi elles, figure un marin de la SNCM, Camille Abboche, secrétaire général adjoint de la CFTC, interpellé à Marseille.
Les suspects, dont la garde à vue peut durer quatre jours, sont soupçonnés d'avoir acheminé ou participé à un trafic d'armes et de drogue à bord de bateaux de la compagnie, selon une source proche du dossier.

80.000 euros saisis

L'enquête, instruite par la Jirs (Juridiction interrégionale spécialisée, chargée des affaires de grand banditisme), a démarré à l'automne 2011. Elle est menée par la direction interrégionale de la police judiciaire (DIPJ) de Marseille, en coopération avec l'Office central de lutte contre la criminalité organisée (Oclco).
Le principal mis en cause, âgé de 35 ans, a été interpellé jeudi près de l'Ile Rousse en Corse, en train d'effectuer une transaction avec un marin de 49 ans, a-t-on précisé de même source.
Les autres personnes, dont deux conjointes de suspects, ont été arrêtées dans la foulée. La plupart sont connus des services de police. «Ils avaient l'air de monter en puissance, notamment du côté corse», a-t-on ajouté, soulignant qu'il s'agissait de jeunes «malfaiteurs de moyenne importance».
80.000 euros en liquide, un kilo de cocaïne et au moins six armes à feu ont été saisis lors des perquisitions.

http://www.20minutes.fr/societe/1222547-20130913-trafic-armes-entre-marseille-corse-quinzaine-personnes-interpellees-dont-syndicaliste

jeudi 12 septembre 2013

Disparues de Perpignan : qui sont ces chiens pisteurs de cadavre ?

ECLAIRAGE - Des chiens spécialisés sont actuellement à Port-Leucate pour tenter de trouver une éventuelle trace d'Allison et Marie-Josée Benitez, disparue depuis le 14 juillet. Comment travaillent-ils sur le terrain ? Les explications du commandant du Centre national d'instruction cynophile de la gendarmerie.

Depuis trois jours, les policiers chargés d'élucider l'épais mystère des disparues de Perpignan  ont entamé des recherches dans le secteur de Port-Leucate. A leur côté, huit chiens spécialisés dans la recherche de cadavres. Tous viennent du Centre national d'instruction cynophile de la gendarmerie, situé à Gramat, dans le Lot. "Nous avons différentes races de chiens qui, en fonction des qualités particulières liées à leur race, sont formés à détecter des traces de cadavre, de sang, d'explosifs, de drogue ou encore d'argent", explique à MYTF1News, le lieutenant-colonel Christian Arbiol, commandant du CNICG.

A Port-Leucate, ce sont des Springers et des Bergers belges malinois qui sont entrés en action. Depuis trois jours, ils flairent tous azimuts le secteur pour tenter de trouver la moindre odeur de cadavre. Particularité : ils sont munis de chaussons. "Nous mettons des chaussons aux chiens dans deux types de circonstances, explique le commandant. Soit parce que la zone de recherche est dangereuse avec la présence par exemple de résidus chauds d'incendie ou des morceaux de verre. Soit pour de ne pas polluer la scène du crime".

Capable de détecter des cadavres même au bout de plusieurs années
Mais comment peut-on retrouver d'éventuelles "odeurs" de cadavre près de deux mois après la disparition effective d'Allison et Marie-Josée, dans un secteur situé à l'air libre et donc soumis aux intempéries ? "Ces chiens peuvent travailler sur des odeurs vraiment infimes. Et dans ce domaine spécifique qu'est la recherche de cadavre, s'il reste un peu de matière, ces chiens sont en mesure de les détecter même plusieurs années après", explique le commandant. C'est grâce au flair hors pair de ces chiens, par exemple, que les enquêteurs ont pu retrouver sous une digue, enfoui à plusieurs mètres de profondeur, le corps démembré d'Alexandre Junka, un adolescent de 13 ans disparu à Pau en 2011. C'est également ces chiens qui ont été sollicités pour retrouver la jeune Laetitia Perrais, dans les environs de Pornic, la même année.

Le choix de la race de chien se fait aussi en fonction de la capacité de restitution de lecture de l'animal. "Il y a des choses que certains types de chiens vont savoir mieux expliquer que d'autres à leur maître lorsqu'ils marquent sur le terrain". "Ainsi, en fonction du dressage qu'ils ont reçu, les Springers et Bergers belges malinois vont gratter la zone où ils ont détecté l'odeur recherchée ou bien se coucher dessus et regarder leur maître d'une façon qui ne laisse pas de place au doute", détaille Christian Arbiol.

Le Saint-Hubert, pisteur hors pair pour les personnes vivantes
En revanche, lorsque les enquêteurs sont à la recherche d'une personne vivante portée disparue, ce sont toujours des Saint-Hubert qui sont envoyés. "Les Saint-Huberts sont des pisteurs, explique le commandant. Ils sont capables de repérer la trace de personnes jusqu'à 96h voire plus après leur passage, puis d'indiquer dans quelle direction elle a poursuivi sa route". Ce sont ainsi des Saint-Hubert qui ont retrouvé sain et sauf fin juillet, des jumeaux de trois ans qui avaient disparu dans la nature dans un hameau en Corse-de-Sud. Ce sont également eux qui aident les secours en montagne lorsqu'il y a des avalanches.

Quant aux techniques utilisées pour dresser tous ces chiens, le commandant se fait plus taiseux : "D'abord, il faut bien comprendre que le chien n'est pas une science exacte. Ensuite, nous ne souhaitons pas divulguer des techniques qui pourraient donner des idées à des personnes mal intentionnées". Seul indice concret donné : "le dressage se fait toujours par des jeux". Une dizaine de chiens spécialisés de la gendarmerie sont en permanence opérationnels. Ils sont sollicités au moins une fois par semaine sur le terrain par les enquêteurs.
 

mercredi 11 septembre 2013

Matabiau. L'identité du squelette découvert par un squatteur reste un mystère

Le cadavre découvert mardi dernier, en fin de journée, dans un appartement vide, rue Chevreul, dans le secteur Roquelaine-Matabiau, n’a pas encore livré tous ses mystères.
Le corps avait été retrouvé à l’état de squelette par un squatteur qui comptait passer quelque temps dans les lieux. Effrayé par son face-à-face avec le mort, il avait déguerpi en criant de sorte à alerter le voisinage.
La victime, un homme, a été découverte dans une baignoire. Selon les premières constatations dans le logement, cette personne aurait pu mettre fin à ses jours. Les causes de la mort ne sont cependant pas définies avec certitude, le travail des enquêteurs étant handicapé par l’ancienneté des restes.
Aucune trace d’un quelconque acte de violence exercé par un tiers n’a cependant été relevée. Le corps aurait séjourné là, sans que personne ne s’en aperçoive pendant environ deux ans. Du courrier datant de 2011 avait d’ailleurs été découvert par les enquêteurs la semaine dernière.
Il pourrait s’agir d’un homme âgé de 30 ans à 50 ans qui demeurait là mais il n’existe à ce jour aucune certitude sur son identité.

D'autres analyses sont prévues

De nouvelles analyses doivent avoir lieu sur ces restes humains afin de faire toute la lumière sur cette découverte.
Dans le voisinage du 25 rue Chevreul, la semaine dernière, la nouvelle de cette macabre découverte a surpris. Personne ne s’est en effet aperçu de rien. «Je ne vois pas du tout de qui il peut s’agir», s’étonnait un homme installé là depuis une trentaine d’années.
Il aura fallu l’intrusion d’un squatteur qui pensait le logement vacant pour découvrir le corps sans vie. L’enquête policière se poursuit autour de ce qui apparaît de plus en plus comme un drame de la solitude.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/11/1706532-matabiau-identite-squelette-decouvert-squatteur-reste-mystere.html

mardi 10 septembre 2013

Viande de cheval : huit cadres de l'ex-Spanghero interpellés mardi matin

Huit cadres de l'ex-Spanghero, entreprise de Castelnaudary (Aude), ont été interpellés mardi matin en Languedoc-Roussillon et en Midi-Pyrénées dans le cadre de l'enquête judiciaire sur le scandale de la viande de cheval vendue à la place du boeuf.

Ils ont été interpellés en même temps, mardi matin, en Languedoc-Roussillon et en Midi-Pyrénées. Huit cadres de  l'ex-Spanghero, entreprise de Castelnaudary (Aude), ont été placés en garde à vue dans le cadre de l'enquête judiciaire en cours sur le scandale de la viande de cheval vendue pour du boeuf, a-t-on appris de source proche de l'enquête. Elles devaient être entendues près de Carcassonne par les gendarmes de l'Office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique (OCLAESP) et de la section de recherches de Languedoc-Roussillon.
  
Une information judiciaire a été ouverte en mars à Paris pour "tromperie simple et tromperie aggravée, faux et usage de faux", a-t-on précisé. Si l'entreprise
Spanghero a déjà payé un lourd tribut avec liquidation judiciaire et licenciement des deux tiers de ses salariés, aucune mise en examen n'a été prononcée à ce stade. 
Spanghero, rebaptisée depuis la Lauragaise, a été désignée par le  gouvernement comme un acteur primordial de ce scandale européen. L'enquête a été confiée au pôle santé publique de Paris, compétent nationalement pour les affaires concernant les produits d'alimentation destinés à l'homme.
 

Deux-Sèvres: un homme découvert mort dans le coffre de sa voiture

Un homme, blessé au thorax, a été retrouvé lundi dans le coffre de sa voiture dans les Deux-Sèvres. Le parquet de Niort a ouvert une pour assassinat.

Le corps, avec une plaie sanguinolente au thorax, a été découvert par les gendarmes vers 15H00 à Champdeniers-Saint-Denis, à 25 km au nord de Niort

 
Ces derniers avaient été alertés par un paysan intrigué par une voiture abandonnée dans un chemin. Le décès du jeune homme, âgé de 24 ans, remonterait à quelques heures avant sa découverte.

«A ce stade des investigations, il est encore impossible de dire» si la victime a été blessée d'un coup de couteau ou par balle a indiqué le procureur de la République, Natacha Rateau. Nous ignorons le mode opératoire du
, mais aussi la date et l'heure du décès.»

Une autopsie devait être pratiquée mardi à l'institut médico-légal de Poitiers.

Selon les premiers éléments de l'enquête, le jeune homme aurait disparu en fin de semaine dernière. Sa famille s'était rendue lundi matin au commissariat de Niort pour signaler la disparition.


http://www.leparisien.fr/poitou-charentes/deux-sevres-un-homme-decouvert-mort-dans-le-coffre-de-sa-voiture-10-09-2013-3121321.php

lundi 9 septembre 2013

Croix: enquête ouverte après le décès d’une enfant rom de 7 ans

Une fillette de 7 ou 8 ans est décédée hier après-midi dans le camp de Roms installé dans la zone de la Gare, aux confins de Croix et Wasquehal. Alertés pour un malaise cardio-respiratoire, les secours n’ont pas pu la ranimer. La police s’est rendue sur les lieux. Une enquête est ouverte.
Les sapeurs-pompiers de Roubaix ont été appelés hier après-midi vers 13 h 30 : une fillette de 7 ou 8 ans était en arrêt cardio-respiratoire, dans le camp de Roms de la zone de la Gare, entre Croix et Wasquehal. Arrivés sur les lieux avec le renfort des médecins du Samu, ils n’ont rien pu faire pour sauver l’enfant.
La police a été appelée à son tour, ainsi qu’un médecin légiste. L’intervention s’est déroulée dans le calme. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes du décès. Selon nos sources, la petite fille ne présentait pas de traces suspectes. Une autopsie doit être pratiquée cette semaine. Elle devrait permettre de dire s’il s’agit ou non d’une mort naturelle. Sur place, les enquêteurs se refusaient à tout commentaire. Plusieurs témoins ont été conduits au commissariat pour prendre leur déposition.

http://www.lavoixdunord.fr/region/croix-enquete-ouverte-apres-le-deces-d-une-enfant-ia24b58791n1527236

dimanche 8 septembre 2013

7 jours BFM: Chevaline: un an de mystère

Disparues de Perpignan : des fouilles pour retrouver les corps

Un nouveau volet va s'ouvrir dans l'affaire dite des «disparues de Perpignan». Alors qu'Allison et Marie-Josée, la fille et l'épouse de Francisco Benitez, restent introuvables depuis le 14 juillet, les enquêteurs, désormais convaincus de ne pas retrouver les deux femmes vivantes, vont dans les prochains jours procéder «à des fouilles sur le terrain» afin de retrouver les corps, a indiqué une source policière au site du «Midi Libre» ce samedi

Benitez se serait débarrassé des corps entre le 14 et le 17 juillet
Francisco Benitez, qui avait clamé son innocence dans une lettre et une vidéo avant de mettre fin à ses jours le 5 août, était le principal suspect dans l'affaire de la disparition de sa fille et de son épouse. Après plus d'un mois consacré à passer au peigne fin l' du temps du légionnaire, entre le 14 juillet et le jour de sa , les enquêteurs espèrent maintenant «pouvoir passer rapidement à des fouilles sur le terrain. On aimerait pouvoir le faire dans les prochains jours», a ainsi indiqué l'un d'entre eux.

Toujours selon le «Midi Libre», les enquêteurs ont d'ores et déjà déterminé «plusieurs sites intéressants» où les corps des deux femmes pourraient être cachés ou enterrés. Ces lieux correspondraient avec les déplacements connus de Francisco Benitez à partir du 14 juillet. Grâce à l'étude de ses communications téléphoniques, de ses paiements par cartes bancaires et des autres élements permettant de le géolocaliser, les enquêteurs pensent que Francisco Benitez «s'est débarrassé des corps, entre ce dimanche (14 juillet, ndlr) et le mardi, peut-être le mercredi», et sans doute «pas très loin de Perpignan».

La piste criminelle ne fait plus aucun doute depuis
la découverte de traces d'ADN des deux femmes dans un congélateur familial et un lave-linge. Après plusieurs témoignages, dont celui décrivant le principal suspect lavant des draps ensanglantés, le parquet a requalifié mardi l'information judiciaire en «assassinats». Le procureur de la République de Perpignan a expliqué que «les développements de l'enquête amènent désormais à considérer l'hypothèse d'un assassinat comme étant la plus probable».

http://www.leparisien.fr/faits-divers/disparues-de-perpignan-des-fouilles-pour-retrouver-les-corps-07-09-2013-3116195.php

samedi 7 septembre 2013

Affaire Merah : une mystérieuse balle retrouvée sur le casse d'une bijouterie

Une cartouche de 11.43 a été découverte sur le casse d’une bijouterie près de Toulouse, le 16 mars 2012. Si rien ne permet de lier la présence du tueur au scooter à ce cambriolage, la PJ en charge de l’affaire Merah s’est saisie de l’enquête.
C’est un cambriolage qui est passé presque inaperçu. Un énième casse de bijouterie, comme il s’en produit à Toulouse ou dans sa périphérie, survenu entre deux drames effroyables : la tuerie des militaires de Montauban et celle de l’école juive Ozar Hatorah, à Toulouse, crimes perpétrés par l’islamo-délinquant Mohammed Merah, les 15 et 19 mars 2012.
Dernièrement, cette affaire de vol de bijoux et d’or, dont le préjudice était estimé à près de 200 000 €, vient de prendre une autre dimension. Elle est désormais traitée de manière connexe à l’affaire Merah.
Confiée un temps aux gendarmes, l’enquête sur ce cambriolage avec arme commis dans la nuit du 16 au 17 mars 2012, à l’Union, près de Toulouse, est aujourd’hui entre les mains de la PJ toulousaine et des policiers antiterroristes après la découverte d’une cartouche perdue par les malfaiteurs dans la bijouterie. Et les dernières révélations sur ce précieux objet ouvrent un nouveau champ d’exploration pour les enquêteurs dont le travail sur les éventuelles complicités dont aurait bénéficié Mohammed Merah continue de porter ses fruits.
Il s’avère que cette fameuse munition échappée d’un chargeur est de même marque et de même calibre que les balles utilisées par le tueur au scooter le 15 mars, lors de l’attaque des militaires, à Montauban. Une cartouche de calibre 11.43. Une munition plutôt courante dans le petit milieu des voyous mais qui ne signifie pas pour autant que Merah faisait partie du gang de cambrioleurs de bijoux, cette nuit du 16 mars 2012. Loin de là. Aucun lien direct n’est d’ailleurs établi entre sa participation et ce casse.
En revanche, la découverte de l’ogive est suffisamment troublante pour des policiers qui ne négligent rien dans le ratissage et l’environnement proche des frères Merah. Depuis un an et demi, ils assemblent toutes les pièces du puzzle pour tenter d’identifier l’origine du financement des crimes de Mohammed Merah et ses éventuels soutiens. La piste des bijoux comme moyen de financer des voyages au Pakistan et l’achat des armes, peut-être une source d’approvisionnement parmi d’autres. Elle est en tout cas jugée plus crédible que celle du trafiquant de drogue à la tête d’un go-fast.
Aguerri à toutes formes de trafic, du cambriolage au vol en tout genre, Mohammed Merah aurait revendu des bijoux, au coup par coup, au gré de ses besoins, même si rien n’indique qu’il appartenait à un réseau de trafiquants d’or. Sa relation commerciale et «intéressée» avec Fetha Malki, l’homme soupçonné de lui avoir vendu deux armes à feu dont un Uzi et un gilet pare-balles et écroué depuis le 1er juin 2013 pour «complicité d’assassinats», intrigue toujours les enquêteurs. Merah lui a-t-il échangé de l’or et des bijoux contre des armes ? «Fetha Malki avait remis ces armes à Merah parce qu’il voulait les réparer. Il ignorait tout de ces projets d’assassinat», assure l’avocat de Malki, Christian Etelin. Il aurait d’abord «répondu à une «demande» de Merah sachant que ce dernier préparait un coup, prétendent, au contraire, des sources proches de l’enquête.
Capable de tromper la DCRI, cachant jusqu’au bout ses intentions terroristes, Merah le djihadiste a-t-il pu dissimuler aussi à ses «proches» ces réelles motivations en se contentant de donner le change ? Une ruse parmi tant d’autres.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/07/1703950-affaire-merah-mysterieuse-balle-retrouvee-casse-bijouterie.html

vendredi 6 septembre 2013

Chevaline: la piste de l'espionnage industriel

Le procureur d'Annecy, Éric Maillaud, a évoqué vendredi la piste de "l'espionnage industriel et du transfert de technologies" parmi les raisons ayant pu conduire à la tuerie de Chevaline (Haute-Savoie), qui a fait quatre morts en septembre 2012. Une des victimes, "Saad al-Hilli, avait en sa possession beaucoup plus de données que son seul emploi ne le justifiait", a déclaré Eric Maillaud au cours d'une conférence de presse franco-britannique destinée à faire le bilan d'un an d'enquête. "Pour l'instant, on nous dit que tout ça n'avait pas de véritable valeur marchande", a-t-il toutefois précisé.
Le 5 septembre 2012, Saad al-Hilli, Britannique d'origine irakienne de 50 ans, avait été tué de plusieurs balles avec sa femme et sa belle-mère au cours de leurs vacances sur les bords du lac d'Annecy. Un cycliste de la région, probable victime collatérale, avait également été abattu, mais les deux filles du couple al-Hilli avaient survécu. "Saad al-Hilli était un ingénieur brillant" qui travaillait pour une entreprise anglaise spécialisée dans les satellites civils (météo, surveillance des cultures), a rappelé Eric Maillaud. "Son entreprise travaillait pour de nombreux États étrangers (...). Qui dit États étrangers et espionnage industriel peut aussi indiquer l'intervention de services secrets", a-t-il ajouté.
 

Carcassonne. Les faux couvreurs tentent d'escroquer un papi

Mercredi, vers 10 h 30, trois hommes se sont présentés au domicile d’un homme quasi nonagénaire qui vit au plateau Paul-Lacombe et sont arrivés à le persuader de leur laisser faire quelques travaux sur son toit. Le papi s’est laissé convaincre, surtout en voyant qu’ils étaient équipés d’un camion nacelle et de gros matériel.
Le trio est donc monté sur son toit, s’est activé à nul ne sait quoi, pas même la victime, puis est revenu sur le plancher des vaches. Ils ont demandé la somme, en liquide, de 2 400 € au bénéficiaire des travaux présumés, sans lui remettre ni devis, ni facture. Le vieil homme leur a donné 700 € qu’il avait chez lui puis s’est fait accompagner par les escrocs jusqu’à la Poste où il a retiré 500 € de plus. Il a été convenu entre lui et le trio de bricoleurs que le reste serait payé hier…
Taraudé par le doute, le papi a appelé la police pour raconter l’épisode. Et hier, après une courte surveillance discrète de son domicile, les trois larrons ont été interpellés alors qu’ils revenaient récupérer l’argent.
Il était 10 h 50 quand les deux hommes âgés de 28 ans et un troisième, âgé de 21 ans, ont été embarqués en direction du commissariat.
Les vérifications de leurs identités ont révélé que l’un des deux faisait l’objet d’une fiche de recherches pour purger une peine de 13 mois de prison, dont 11 ferme. Il a donc été conduit à la maison d’arrêt.
Au cours de leurs auditions, les trois larrons ont reconnu avoir travaillé au noir, sans déclaration et avoir tenté d’escroquer le vieillard. Pour ces faits, ils sont renvoyés devant le tribunal en «plaider coupable».
Cette nouvelle affaire emmène les forces de l’ordre à appeler les Carcassonnais à la vigilance et les invite à composer le 15, au moindre doute quant à la qualité de prestataires.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/06/1702787-carcassonne-les-faux-couvreurs-tentent-d-escroquer-un-papi.html

jeudi 5 septembre 2013

Tuerie de Chevaline. Un an d'enquête, et toujours aucun tueur

Un an jour pour jour après la tuerie de Chevaline (Haute-Savoie), les gendarmes français et policiers britanniques nagent encore en plein mystère. Des soupçons pèsent sur un membre de la famille du père assassiné, mais personne n'a encore été mis en accusation souligne aujourd'hui Le Parisien.
Les faits
Ce
mercredi 5 septembre, il y a un an, vers 15 h 30, un cycliste anglais en balade dans les contreforts du massif des Bauges, découvre un break BMW, moteur allumé, garé sur un parking à Chevaline, commune de Haute-Savoie. Un break, mais aussi des corps criblés de balles. L'enquête révèle le jour même l'identité des victimes. il s'agit de Saad al-Hilli, un ingénieur britannique d’origine irakienne de 50 ans, de sa femme Iqbal, 47 ans et de la mère de cette dernière, Suhaila al-Allaf, 74 ans, de nationalité suédoise. Puis, plus loin, près de son vélo, le corps d'un habitant d'Ugine: un cycliste nommé Sylvain Mollier. Et également une petite fille de 7 ans, encore en vie mais gravement blessée. Les gendarmes découvriront par la suite -8 heures plus tard-  une autre petite fille âgée elle de 4 ans, cachée sous les jupes de sa maman décédée.   

L'enquête sur le terrain
Confiée au parquet d’Annecy et au procureur Éric Mailaud, l'enquête mobilise plus de 100 enquêteurs selon
Le Dauphinéet permet de recueillir 800 témoignages et franchit rapidement la Manche. Une commission d’enquête franco-britannique est créée. L'enquête permet également de retracer le parcours de la famille al-Hilli, depuis son arrivée en France fin août, jusqu’à son installation au camping au bord du lac d’Annecy. Le scénario de la tuerie est également reconstitué et l'arme du crime identifiée.

L’enquête se recentre rapidement sur la famille al-Hilli et met en lumières des conflits liés à des questions d'argent. Un proche des victimes reste soupçonné d’être le commanditaire. Mais rien ne permet de l'établir. Quant aux deux petites rescapées, elles tentent de se reconstruire. Loin des caméras. 


http://www.letelegramme.fr/ig/generales/france-monde/france/tuerie-de-chevaline-un-an-d-enquete-et-toujours-aucun-tueur-05-09-2013-2223645.php

Disparues de Perpignan. Aucune trace de sang dans les voitures utilisées par Benitez

D'après les derniers résultats des analyses ADN, aucune trace de sang n'a été retrouvée par les enquêteurs, dans les voitures utilisées par Francisco Benitez, révèle RTL.
En effet, aucune trace de sang n'a été retrouvée dans la voiture du père des disparues ni dans les trois véhicules mis à sa disposition par sa caserne. La voiture utilisé pour transporter le congélateur du domicile familial ne contenait également aucune trace.
RTL explique également que le tapis lavé par le l'époux et le père des deux disparues ne montrent pas la moindre trace de sang alors que des empreintes génétiques d'Allison étaient apparues dans le congélateur et le lave-linge utilisé par le père de famille.
L'ADN de la mère, Marie-Josée, est toujours introuvable.


http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/05/1702355-disparues-perpignan-aucune-trace-sang-voitures-utilisees-benitez.html

mardi 3 septembre 2013

Strasbourg : retrouvé mort les mains liées dans son appartement

Le corps d'un homme décédé, les mains liées dans le dos, a été découvert tard lundi soir dans un appartement de Koenigshoffen, dans les quartiers ouest de Strasbourg.
Selon les premiers éléments communiqués par les services du procureur de Strasbourg, le corps d'un homme décédé, qui avait les mains liées dans le dos et le cou enserré par un lien, a été découvert dans un appartement de la rue Geroldseck, lundi soir aux alentours de 23h20.
L'alerte a été donnée par l'épouse (ou la compagne) de l'homme retrouvé mort ; elle s'est adressée à un voisin de palier. Celui-ci a immédiatement contacté les secours. A l'arrivée des secours sur place, l'homme était décédé. Outre les liens autour des mains et du cou, il présentait des traces de violence.
Une enquête a été ouverte sous l'autorité du procureur de Strasbourg. Une autopsie doit être pratiquée.
Aucun suspect n'a été interpellé et placé en garde à vue pour l'heure.

http://www.dna.fr/actualite/2013/09/03/strasbourg-retrouve-mort-les-mains-liees-dans-son-appartement

lundi 2 septembre 2013

Un couple qui pillait les campings arrêté

Un couple soupçonné d'avoir dépouillé plus d'une centaine de touristes dans des campings de plusieurs départements de l'ouest et du centre a été interpellé jeudi à Châtellerault (Vienne), a-t-on appris dimanche auprès des gendarmes. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'homme et la femme, ressortissants d'un pays de l'Est, s'introduisaient la nuit dans des campings et taillaient les toiles de tente d'un coup de cutter pour s'emparer des biens des vacanciers. Les étrangers étaient particulièrement ciblés, repérés notamment par la plaque d'immatriculation de leur véhicule.
L'enquête avait démarré dans le courant de l'été après un afflux inédit de plaintes de touristes séjournant dans des campings du département. Lors de l'interpellation à Châtellerault, les gendarmes ont découvert des dizaines de vélos, valises, téléphones portables, tablettes, ordinateurs, consoles de jeu, appareils photo, lunettes, chaises, ainsi que des billets en euros, livres ou dollars. Le préjudice total est estimé à plusieurs dizaines de milliers euros. "C'est un véritable pillage industriel vu le nombre de faits et la répétition", a déclaré le capitaine Sylvain Soula, de la compagnie de gendarmerie de Châtellerault.
 

dimanche 1 septembre 2013

Combrit-Sainte-Marie. Le corps retrouvé est celui d'une vacancière de l'Ile-Tudy

Le corps retrouvé ce samedi après-midi, à Sainte-Marine, est celui d'une vacancière de l'Ile-Tudy. Il a été identifié en fin d'après-midi. La victime, une femme de 51 ans, domiciliée à Saint-Evarzec (29), était donc en vacances. Son compagnon la recherchait depuis le début de la matinée.
D'importants moyens ont été déployés à la pointe de Sainte-Marine : les canots pneumatiques des CRS et pompiers de Bénodet, mais aussi l'hélicoptère Dragon 29, la SNSM de Bénodet et la brigade de gendarmerie nautique de Port-la-Forêt.

http://www.letelegramme.fr/local/finistere-sud/ouest-cornouaille/plbregion/combrit/combrit-sainte-marie-le-corps-retrouve-est-celui-d-une-vacanciere-de-l-ile-tudy-31-08-2013-2218455.php